Mi amiga Veronica, Jefa de Prensa del Ayuntamiento de Estrasburgo, me envia una nota con una nueva iniciativa de la ciudad francesa en defensa de los derechos humanos. Estrasburgo es sede del Parlamento Europeo, del Consejo de Europa y del Tribunal de Justicia del Consejo de Europa, y se implica de lleno a las actividades de estas instituciones.
Ahora ante la celebración en noviembre en Estrasburgo del Foro Mundial para la Democracia, en el que participan las ciudades de los Estados que pertenecen al Consejo de Europa, ha promovido una iniciativa en defensa de la integración de los refugiados y el respeto a los derechos humanos. Mas abajo les incluyo parte del texto en francés de esta iniciativa. Sólo una pregunta: ¿Que haran los alcaldes de Hungría ante esta iniciativa?. Hungría, que ha levantado un valla para impedir el paso de los refugiados, se sumó a la lista de países miembros del Consejo de Europa en 1990. Fue el miembro 24 de esta institución que ya suma 47 miembros aunque esto parece importarle poco a su primer ministro Victor Orban. Orban ha pedido ante Jean Claude Juncker y diez comisarios europeos, Donald Tusk y varios lideres que se sientan con él en el Consejo Europeo, que "no se de una vida europea" a estas personas. Y encima -los que lo escucharon- le aplaudieron.
En 65 ans, nous avons su relever tant de défis ensemble : surmonter la guerre, faire tomber un mur, construire des démocraties, protéger les libertés fondamentales, concevoir une union fondée sur le respect de la diversité culturelle et tant d’autres choses. Aujourd’hui l’Histoire nous convoque. Et il est de notre responsabilité d’être à la hauteur du RDV. Et parce que nous voulons dire « non » à ceux qui veulent dresser des murs, à ceux qui veulent construire une Europe « forteresse », il est impératif que nous nous engagions ensemble à faire vivre l’Europe des solidarités », a indiqué Nawel Rafik-Elmrini en ouverture du débat. Elle a saisi cette occasion pour rendre hommage à la nouvelle maire de Cologne, Henriette Reker, poignardée samedi dernier en raison de son positionnement en faveur de l’accueil des réfugiés dans son pays.
« Face aux idéologies qui prônent le repli sur soi et aux projets politiques qui se fondent sur le rejet et la haine de l’autre, il nous faut opposer une réponse claire et sans ambigüité. Une réponse marquée du sceau de la fraternité et de la solidarité. Une solidarité exprimée à l’égard des pays européens aujourd’hui en première ligne dans l’accueil des réfugiés ainsi qu’à l’égard de toutes les personnes vulnérables et en difficulté sans concurrence ni hiérarchie », a-t-elle conclu.
